Biennale d'Art contemporain  à  Lyon  (69)

Le dimanche 2 octobre 2022,  ...


En route ...

Se garer à Gerland, avec toutes ces camionnettes, dont personne ne vérifie les affichages règlementaires !
Repas au Ninkasi, personnel débordé, longues attentes pour commander ... etc. !


En passant par la rue Prosper Chappet pour jeter un regard sur les graphs présents ...


Longer l'Avenue Debourg, avec les voies pour le Tram T1 (entre les stations Perrache et Feyssine)


Pour parvenir au site des Usines Fagor !
Cette usine d'électroménagers est un "ancien fleuron" de l'industrie lyonnaise.
1800 ouvriers en 1980, et usine délocalisée à partir de 2005 (merci patron !)

Depuis 2017 le site accueille des programmes culturels ...
et donc c'est un des sites de la Biennale d'Art contemporain de Lyon, version 2022.
Nota : un billet acheté donne droit aux entrée dans les autres sites concernés par cette biennale.


On voulait boire notre café d'après repas, mais encore trop de monde à table dans l'espace restauration !
Toute patience à ses limites ...

Manifesto of fragility, 16^ème Biennale de Lyon


Donc on parcourt les 7 Halles de l'expo.

Une découverte avec ces différentes sculptures ...

C'est le Musée des Moulages de l’Université Lyon 2 qui participe à la Biennale.

Pour la présentation il aurait été sympa de commenter chaque moulage in-situ !

L’œuvre de Pedro Gómez-Egaña : Art contemporain, avec "performance" en cours ...

Ce genre de manifestation est aussi l'occasion d'exprimer un avis photographique (réussi ou pas !)

Comme souvent devant l'art contemporain ... perplexité !

Un univers en carton : la fragilité du monde.

Une œuvre qui a vraiment retenu mon attention !
Window 2022 : acrylique et encre sur toile, diptyque, par Mohammed Kazem.

2 toiles d'une série de 6 : "Even the Shade Does not Belong to Them".
(en français : même l'ombre ne leur appartient pas)
En évoquant les ouvriers au travail sur les chantiers à Dubaï.

Diverses présentations qui ne nous retiennent pas longtemps ...


Parfois il ne semble que le but n'est que meubler le vide ...



Une inscription sur un pont roulant ...

Tags sur les murs, lors d'un changement de halle.

Probablement un endroit refuge, du moins un temps ...

L'OEdipode automnale, ou Criquet farouche, Aiolopus strepens, de la famille des Acrididae.
Un adulte qui va hiverner ...

Un peu de contestation, des souvenirs, des discussions, des désillusions aussi !



Ma foi, contents quand même d'être là, ensemble ...

Julian Charrière, Not All Who Wander Are Lost, 2019

(Tous ceux qui errent ne sont pas perdus)

Portrait ... raté !

L'œuvre de Hans Op de Beeck qui occupe une halle entière :
un parc de caravanes pétrifié sous une couche de gris mat.

Rien que ce paysage figé mérite le détour ... on erre dans la grisaille heureux !


Étonnamment, les personnes présentes éblouies chuchotent, pas de mouvements empressés !

"We Were the Last to Stay" (en français : "Nous fûmes les derniers à rester").


Une œuvre tellement gigantesque que l'on se demande comment faire pour l'immortaliser !




Bizarrement cet univers monochrome n'est pas angoissant !

En tout cas, merci pour les émotions ...

"Comme la couleur est éliminée et que vous en tant que spectateur,
vous êtes le seul élément coloré qui se déplace à travers l'installation,
on se regarde les uns les autres dans ce décor gris," indique Hans Op de Beeck.
source https://fr.euronews.com





C'est la 16ème édition de la biennale d'art contemporain ...

Obscur et surtout pas clair !


De grands moments d'errances sans but ...




Moss Peoples ...

Sculptures monumentales de l'artiste finlandais Kim Simonsson.











Par Nicolas Daubanes
Reconstitution du tribunal permanent des forces armées
 qui a siégé au Fort de Montluc de 1953 à 1992.



Je me pose encore la question ! ?




Growths (2022) de Eva Fàbregas


Par l'artiste Sylvie Selig ...

The weird family ... quelques membres !

Des extraits de "Stateless".
une Fresque de 50 m de long, sur 2 m de hauteur pour faire réfléchir sur la question des migrants.
(avec les paroles d'une chanson de Bob Dylan)

Ce site industriel ...
va devenir un centre de remisage et de maintenance des tramways pour le Sytral à partir de 2024.

A bientôt pour d'autres images.

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Yves