dans le
Valromey
(01)Une association de passionnés par la nature, sa découverte et sa protection.
Ce jour, le 23 juin 2017 ...
L'Étang des Alliettes à Songieu, le matin ...
Je suis parti de bonne heure, car avant de retrouver mes camarades, je voulais faire le tour de cet étang.
C'est un étang de pêche (du 15 avril au 30 novembre) d'une superficie de 3,5 Ha.
La fleur rose de la Bugrane rampante, Ononis repens.
Une femelle immature de l'Agrion élégant, Ischnura elegans.
Un coléoptère de la famille des Chrysomelidae, et du genre Clytra.
Pour distinguer 2 espèces voisines, il faut une vue nette du pronotum afin d'en apprécier la ponctuation.
Un cœur copulatoire d'Agrions jouvencelles.
Deux représentants pour l'Agrion à larges pattes : un mâle mature et une jeune femelle.
Un plan d'eau calme ... le matin.
Présence de la Coronille bigarrée.
L'extrémité des antennes orangées plaide en faveur de Thymelicus sylvestris, l'Hespérie de la houque.
La Houque, étant une Poacée, une plante graminée.
Une femelle de Sympétrum sanguin, avec ses pattes noires.
Pour un étang de pêche, je trouve que la végétation riveraine a été bien conservée.
Les étranges pétales du Silène fleur de coucou (ou Lychnis ...).
Le Tristan, Aphantopus hyperantus, de la famille des Nymphalidae.
Une libellule qui se cache ... faire le tour doucement, avec patience !
Bon, photo un peu ratée, mais suffisante pour nommer l'Orthétrum cancellatum.
Pour faire le tour, un étroit sentier parmi les arbres ...
Une autre femelle d'Orthétrum réticulé, Orthetrum cancellatum ...
... et un mâle.
Un dernier ? pour le plaisir ...
En passant, l'Escargot des bois, Cepaea nemoralis ... une exuvie de Coccinelle à 7 points.
Mais il est temps de rejoindre le lieu de rencontre ...
J'installe ma résidence secondaire pour les 3 nuits à venir.
L'Étang des Alliettes à Songieu, en fin d'après-midi ...
Une seconde visite, avec le groupe de Naturalistes rhodaniens (nous étions 14).
Les fleurs spéciales de la Rhinanthe crête de coq.
Un mâle mature d'Agrion élégant.
La Coccinelle à 7 points ...
Et cette Chrysomèle, probablement Clytra laeviuscula, le Clytre du saule.
Nous allons explorer un autre secteur où je n'avais pas mis les pieds !
Pour ces orchis, les éperons longs et recourbés nous désignent l'Orchis moucheron.
Un Demi-deuil avec une aile antérieure qui s'est mal développée durant l'émergence de la nymphe.
Une belle population d'Epipactis des marais, ou Helléborine des marais.
Si je m'en tiens à Tela-botanica, il faudrait la nommer Epipactis à longues feuilles.
Une des raisons qui fait que le nom scientifique doit être cité, Epipactis palustris est universel ...
Une zone quand même plutôt sèche, mais c'est vrai aussi que la pluie est un lointain souvenir.
La Punaise à damier, Spilostethus saxatilis, sur sa plante préférée, le Dompte-venin.
La Punaise écuyère, Lygaeus equestris.
Ici ce sont deux stades juvéniles d'une punaise du genre Carpocoris.
A gauche un des derniers stades avec l'ébauche des ailes.
Pour terminer cette exploration, un Orchis moucheron dépigmenté.
Yves
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